En vue de conserver leurs pensées et leurs expressions à l’écrit, les Sumériens ont inventé, vers 3400-3300 avant J-C, un système d’écriture non alphabétique mais basé sur des pictogrammes, représentation schématique d’objets, de lieux et de concepts, gravés sur des tablettes d’argile humide. Ensuite, ils vont venir avec l’écriture cunéiforme, faite en « forme de coins » ou de « clous ».
Vers 3200-3000 avant J-C, les Egyptiens développaient les hiéroglyphes qu’ils tracent, sur des rouleaux de papyrus ou de cuir, des pictogrammes et de phonogrammes.
Le temps d’une minute, plusieurs milliers de personnes ont été mutilées par le meurtrier séisme qui a frappé Haïti en 2010. Dix ans après, elles sont aussi des milliers à se défaire des séquelles psychologiques et physiques du drame et avancer. Mais le pari n’est pas gagné d’avance.
Lindy Joseph et James Medina travaillent au Centre de physiothérapie Healing Hands for Haïti (HHH), à Bourdon, depuis 2015. Ils sont à la fois cadres et patients.
Une journée de formation a été organisée par le Bureau du Secrétaire d’Etat à l’Intégration des Personnes Handicapées (BSEIPH) et Christian Blind Mission (CBM), le 25 juillet 2019, à l’intention des professionnels de la presse autour de la problématique du handicap en Haïti. Un total de 18 journalistes ont pris part à cette formation. La séance visait principalement à informer et à sensibiliser les journalistes en vue de leur permettre de mieux prendre en compte les droits des personnes handicapées dans l’exercice de leur fonction. Divers thèmes ont été débattus à cette occasion notamment le cadre légal sur le handicap, les normes d’accessibilité de l’environnement bâti, l’accessibilité à l’information.